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19 novembre 2008 3 19 /11 /novembre /2008 07:59



                                 La falaise, le village, vue de le route qui y mène.


VOILA.
   Je vis là, au pied d'une immense falaise qui a plus ou moins 12 millions d'années, presque aussi agée que moi même.
Un fantastique bloc de pierre , Voici tout d'abord une photo, plus tard je reviendrai en ajouter et nbien sur parler de Lioux.
  A bientôt.
                                 
                                   La falaise vue en venant de Murs

  Bien sûr, pour ceux ou celles qui voudront connaître Lioux par le chemin de cet écran , vous savez ce qu’il vous reste à faire : cliquez, nommer Lioux sur Google . Oui ! oui ! Lioux existe, un peu caché, un peu perdu, à l’écart des grands chemins de la transhumance touristique, mais aujourd’hui avec le net, les satellites, les microscopes, les télescopes, plus rien ou presque n’est inconnu, même pas la plus petite molécule qui fait que mon corps tient debout. Alors, eh oui ! quand même, au bout de vos doigts de magiciens ou de fées vous apprendrez que ce petit village se situe, ici, sur la terre, dans l’immense univers sur le chemin d’Orion quand il surgit les nuits d’hiver avec les Pléiades, les Canis, Cassiopée et toute la ribambelle d’étoiles, au-dessus de la falaise.
  Oui, Lioux, c’est tout d’abord une immense et surprenante falaise de calcaire qui surprend tous ceux qui passent par ici pour aller ailleurs. Soudainement, au milieu des vignes, de la lavande, des cerisiers, des oliveraies, des garrigues, des chênaies, des pinèdes, elle s’élève jusqu’au ciel comme une muraille stoppant net un affaissement qui s’allonge doucement à ses pieds pour parfois laisser courir un ruisseau qui gratouille quelques marches, se touille dans des marmites, se perd dans un trou, revient, s’arrête pour attendre la saison des grenouilles heureuses. Falaise qui inscrit dans la terre les grands bouleversements tectoniques des âges lointains, lesquels donnent son caractère particulier à cette Provence en prolongeant pour elle-même la houle d’un vieil océan pétrifié jusqu’aux Alpes.

 A   suivre, mais, respiration…. Quelques photos.






  

  


                                                           
 En descendant du moulin >         














                    
   Au pied de la falaise,  Les écailles >                                                                                                                                                                                                              


 
      
        
             De face, blanc et bleu                



                                                                                   Du haut de la falaise, en face, la faille de Lioux


                                                                                                                                                                                                                       
                                                    


                                        Entre la falaise et la faille, la Combe.

 
                                                 Amonite, Corne ? Pierre, oui.
 
                                       Deux marmites du ruisseau.

                                                   A bientôt !






















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commentaires

N
bonjour à toi tout d'abord et bienvenue dans ma communauté <br /> la poésie aussi passe par l'art de la photo ... à bientôt
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